C’est quoi la matrescence ?
C’est quoi la matrescence ?

La matrescence, c’est quoi exactement ?
Le terme « matrescence » est un mix entre « maternité » et « adolescence ». Et ce n’est pas un hasard. Comme l’adolescence, la matrescence est une période de transition intense, où le corps change, les repères explosent, les émotions te percutent sans prévenir, et ton identité vacille.
Mais cette fois, ce n’est pas parce que tu as 14 ans et des boutons. C’est parce que tu viens de devenir mère. Et que ça, contrairement à ce qu’on t’a vendu, ce n’est pas qu’une affaire de couches et de doudous.
La matrescence c’est quoi au final ? Ce mot désigne le processus de transformation qu’une femme traverse lorsqu’elle devient mère, que ce soit lors de sa première grossesse ou des suivantes. Et ça ne se limite pas aux hormones. Ça implique une reconfiguration totale de qui tu es, de comment tu te vois, de ce que tu ressens, de ce que tu attends… et de ce que les autres attendent de toi.
matrescence c’est quoi Les effets psychiques ?
Tu es censée être heureuse, rayonnante, pleine de gratitude. Sauf que tu dors 3h par nuit, tu pleures dès que tu ouvres Instagram, tu ne reconnais plus ton corps, et tu t’ennuies parfois à mourir.
Certaines femmes vivent leur matrescence dans une solitude étouffante. Par manque de relais. Par culpabilité. Par peur d’être jugée. Ou parce que personne ne les a préparées à cette traversée. Le mythe de la mère « naturellement faite pour ça » fait encore beaucoup trop de dégâts.
Tu te sens ultra sensible ? Tu doutes de toi ? Tu passes de la joie au désespoir en 15 minutes ? Tu ne te reconnais plus dans le miroir, ni dans ton couple, ni dans tes envies ? Tu es peut-être en plein dans ta matrescence.
Cette période peut provoquer des vagues massives d’émotions, liées à un bouleversement hormonal, mais aussi à une transformation de l’identité. Ce que les psys appellent une crise d’identité, nous on appelle ça la matrescence. Et non, ce n’est pas un bug. C’est une adaptation. Mais comme on n’en parle pas, beaucoup de femmes pensent qu’elles « gèrent mal » leur postpartum. Alors qu’en réalité, elles le vivent intensément. Et c’est normal.
Les phases de la matrescence : des hauts et (surtout) des bas
D’abord, t’as l’excitation du début : « Je vais être mère ! ». Ensuite, les doutes débarquent avec la force d’un ouragan. Ton corps change, tes priorités aussi, et là tu te dis : « C’est quoi ce bazar ? ». Mais à force de naviguer dans ce chaos, tu finis par trouver ton rythme… enfin, en théorie.
Le jour J : L’arrivée du bébé. Là, tout bascule. Entre les nuits blanches et les pleurs (du bébé et parfois toi aussi), tu réalises que ta vie ne sera plus jamais la même.
Et après ? : Petit à petit, tu te réinventes en tant que mère. Tu comprends que la matrescence, c’est pas une ligne droite, c’est un truc en zigzag où tu jongles entre « j’assure » et « je suis complètement larguée ».
Combien de temps ça dure ?
La vraie question ! Surprise : ça peut durer des mois, voire des années. Le post-partum en fait partie et chaque femme vit ça différemment. C’est quoi la matrescence ? C’est un processus évolutif, sans fin fixe, et c’est parfaitement normal.
Pourquoi on n’en parle (presque) jamais ?
Parce qu’on est encore coincé·es dans des injonctions qui datent du Moyen-Âge : la mère parfaite, douce, disponible, radieuse, mince, patiente, épanouie. Celle qui « sait » quoi faire avec son bébé. Celle qui ne pleure pas à 3h du mat en scrollant les forums pour savoir si c’est normal d’avoir envie de fuir.
La société adore parler de maternité comme si c’était un automatisme biologique. En réalité, ce que vivent les jeunes mamans est souvent une crise existentielle. Mais comme c’est censé être « le plus beau moment de ta vie », tu culpabilises à mort si tu ne le vis pas comme tel. Résultat ? Tu te tais. Et tu t’isoles. Encore plus si tu vis un baby blues, une dépression post-partum ou une psychose puerpérale.
Et la patrescence alors ? ça existe aussi ?
On parle de matrescence, mais la patrescence ? Silence radio. Pourtant, l’arrivée d’un bébé, ça te retourne aussi. Tu crois que tu vas juste « soutenir », faire les couches et gérer deux-trois nuits pour laisser la maman se reposer. En vrai ? Tu prends une claque. Bonjour anxiété !
Personne ne te prépare à ce que ça fait de voir leur enfant sortir du ventre d’une femme qui vient d’accoucher (ou de vivre une césarienne), de devoir assurer dès le lendemain pendant qu’elle galère avec l’allaitement, son corps, ses larmes, sa tête en vrac. Elle fait peut-être une dépression postnatale, ou un simple maman blues, mais toi aussi t’as changé. Et non, ce n’est pas parce que t’es faible ou dépressif.
T’as juste pas dormi. T’es paumé. Et dans tout ce truc ultra maternel, t’as même plus le droit de dire que t’existes. T’es censé gérer les papiers, la bouffe, les visites, les pleurs du nourrisson, et parfois même, consoler une jeune accouchée qui se demande si elle est une bonne mère. Spoiler : elle l’est. Et toi, t’as le droit d’être perdu aussi.
La patrescence, c’est ce moment où les jeunes papas changent de peau sans qu’on leur file un mode d’emploi. Entre les injonctions à être un « pilier », les non-dits sur le postnatal, les questions incessantes dès le retour à la maison, et la charge mentale à deux, y’a de quoi vriller.
Alors non, t’es pas juste là « pour aider ». T’es en train de devenir père d’u nouveau-né. Et ça aussi, ça mérite du soin, du soutien, et qu’on arrête de faire comme si c’était secondaire.
Matrescence et charge mentale : combo explosif
Tu fais la liste dans ta tête pendant que tu allaites ? Tu penses à la PMI, au pédiatre, au linge, au vaccin, à la reprise du boulot pendant que tu essuies du lait sur ton T-shirt ? Bienvenue dans le grand marathon invisible des mères.
La matrescence c’est quoi ? C’est aussi prendre conscience de cette charge mentale monumentale, que tu portes souvent seule. Et cette charge pèse sur tout : ton énergie, ton sommeil, ton moral, ton couple, ta santé mentale. Résultat : épuisement, stress chronique, et parfois… burnout parental.
Le corps, l’inévitable bouleversement physique
Pendant la matrescence, le corps devient un enjeu central. Il est à la fois objet d’amour, de fatigue, de douleur, de fierté, de honte parfois. Il est scruté, comparé, jugé. Y compris par toi-même. Or, c’est souvent dans le corps que s’inscrit la mémoire émotionnelle du bouleversement vécu. Ignorer ça, c’est ignorer la moitié de ce que tu vis.
Ton utérus a bossé dur. Tes seins sont sous pression. Ton périnée ne sait plus comment se tenir. Et pendant que tout ton corps se reconstruit, tu dois en plus le montrer, le maquiller, le remercier, le tonifier ? Pardon, mais non. Encore une charge que les femmes doivent gérer en plus du reste.
Le couple et la matrescence : attention, terrain glissant
Devenir parents, c’est pas juste avoir un bébé. C’est redéfinir ton couple. Et spoiler : c’est souvent un tsunami relationnel. Libido à plat, communication qui part en vrille, charge mentale qui explose côté maternité… La matrescence, ça peut révéler des déséquilibres profonds.
Certaines femmes se sentent abandonnées. D’autres deviennent agressives. Beaucoup se sentent incomprises. C’est aussi la période où l’on parle enfin de charge mentale, de répartition des rôles, de fatigue émotionnelle. Bref, c’est pas le moment de faire l’autruche.
Pourquoi un accompagnement est indispensable
C’est là que le bât blesse : le suivi médical de la jeune maman est incomplet. Il checke ton col, ton utérus, ton périnée. Pas ta charge mentale, ni tes émotions, encore moins ta culpabilité. Tu restes seule avec ta peur d’être une mauvaise mère les premiers mois. Si certains⸱es pros savent comment t’accompagner dans ce tourbillon émotionnel, d’autres peuvent être eux-mêmes complètement largués. N’hésite pas à changer si tu ne te sens pas soutenue.
Un accompagnement digne de ce nom, c’est celui qui prend en compte ta tête, ton corps, ton vécu, ton contexte. Qui ne t’infantilise pas, te donne des outils mais aussi t’offre une vraie écoute.
Ici, on ne te dit pas « ça va passer ». On te donne des clés concrètes. Motherhood, c’est un programme grossesse et post-partum pensé pour t’aider à naviguer dans la matrescence sans te noyer. Chaque mois, tu reçois chez toi une box avec des outils concrets (livrets, soins, objets utiles) + un accès à des contenus exclusifs en ligne, sans chichi, sans jugement, 100 % réalistes.
Et on n’oublie pas le coparent : parce qu’on devient parents à deux. Et que le soutien ne devrait jamais reposer sur une seule paire d’épaules.
En résumé : la matrescence, c’est pas juste un mot savant. C’est un vrai bouleversement. C’est ton cerveau qui reboote, avec ton corps qui évolue mais surtout ton cœur qui vacille. En bref le début de ta vie de mère avec votre bébé, c’est toute ton identité qui se transforme.
Et pour ton partenaire on a aussi un tas de conseils pour lui : Ma femme est enceinte comment me rendre utile ?
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• Les phobies d’impulsion : quand ton cerveau part en vrille 😳
• Postpartum c’est quoi ? spoiler : pas juste un baby blues !
• Et si ce que je ressens, c’était une dépression post-partum ?
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Matrescence : quand devenir mère chamboule plus que ton utérus
Tu pensais vivre une grossesse, un accouchement, un bébé… et basta ? Spoiler : tu t’apprêtes à traverser un bouleversement bien plus vaste, profond, déroutant. Ce truc-là a un nom : la matrescence. Ce mot encore confidentiel recouvre pourtant une réalité que vivent toutes les femmes qui deviennent mères — même si peu d’entre elles savent le nommer. Et c’est bien ça le problème. Parce que quand on ne met pas de mots, on finit par croire qu’on devient folle.
Alors on t’embarque pour un grand plongeon dans cette métamorphose identitaire, hormonale, sociale, émotionnelle qu’est la matrescence. Avec du franc-parler, des infos béton, et cette conviction : non, tu n’es pas seule. Et non, tu n’es pas en train de perdre la boule.
Tu passes de la femme insouciante que tu étais à celle qui doit gérer une petite vie (ou qui essaie). Ce n’est pas toujours glamour, mais c’est là que le vrai spectacle commence : bienvenue dans le grand bordel qu’est la naissance d’un bébé mais surtout d’une mère.
La matrescence, c’est quoi exactement ?
Le terme « matrescence » est un mix entre « maternité » et « adolescence ». Et ce n’est pas un hasard. Comme l’adolescence, la matrescence est une période de transition intense, où le corps change, les repères explosent, les émotions te percutent sans prévenir, et ton identité vacille.
Mais cette fois, ce n’est pas parce que tu as 14 ans et des boutons. C’est parce que tu viens de devenir mère. Et que ça, contrairement à ce qu’on t’a vendu, ce n’est pas qu’une affaire de couches et de doudous.
La matrescence c’est quoi au final ? Ce mot désigne le processus de transformation qu’une femme traverse lorsqu’elle devient mère, que ce soit lors de sa première grossesse ou des suivantes. Et ça ne se limite pas aux hormones. Ça implique une reconfiguration totale de qui tu es, de comment tu te vois, de ce que tu ressens, de ce que tu attends… et de ce que les autres attendent de toi.
matrescence c’est quoi Les effets psychiques ?
Tu es censée être heureuse, rayonnante, pleine de gratitude. Sauf que tu dors 3h par nuit, tu pleures dès que tu ouvres Instagram, tu ne reconnais plus ton corps, et tu t’ennuies parfois à mourir.
Certaines femmes vivent leur matrescence dans une solitude étouffante. Par manque de relais. Par culpabilité. Par peur d’être jugée. Ou parce que personne ne les a préparées à cette traversée. Le mythe de la mère « naturellement faite pour ça » fait encore beaucoup trop de dégâts.
Tu te sens ultra sensible ? Tu doutes de toi ? Tu passes de la joie au désespoir en 15 minutes ? Tu ne te reconnais plus dans le miroir, ni dans ton couple, ni dans tes envies ? Tu es peut-être en plein dans ta matrescence.
Cette période peut provoquer des vagues massives d’émotions, liées à un bouleversement hormonal, mais aussi à une transformation de l’identité. Ce que les psys appellent une crise d’identité, nous on appelle ça la matrescence. Et non, ce n’est pas un bug. C’est une adaptation. Mais comme on n’en parle pas, beaucoup de femmes pensent qu’elles « gèrent mal » leur postpartum. Alors qu’en réalité, elles le vivent intensément. Et c’est normal.
Les phases de la matrescence : des hauts et (surtout) des bas
D’abord, t’as l’excitation du début : « Je vais être mère ! ». Ensuite, les doutes débarquent avec la force d’un ouragan. Ton corps change, tes priorités aussi, et là tu te dis : « C’est quoi ce bazar ? ». Mais à force de naviguer dans ce chaos, tu finis par trouver ton rythme… enfin, en théorie.
Le jour J : L’arrivée du bébé. Là, tout bascule. Entre les nuits blanches et les pleurs (du bébé et parfois toi aussi), tu réalises que ta vie ne sera plus jamais la même.
Et après ? : Petit à petit, tu te réinventes en tant que mère. Tu comprends que la matrescence, c’est pas une ligne droite, c’est un truc en zigzag où tu jongles entre « j’assure » et « je suis complètement larguée ».
Combien de temps ça dure ?
La vraie question ! Surprise : ça peut durer des mois, voire des années. Le post-partum en fait partie et chaque femme vit ça différemment. C’est quoi la matrescence ? C’est un processus évolutif, sans fin fixe, et c’est parfaitement normal.
Pourquoi on n’en parle (presque) jamais ?
Parce qu’on est encore coincé·es dans des injonctions qui datent du Moyen-Âge : la mère parfaite, douce, disponible, radieuse, mince, patiente, épanouie. Celle qui « sait » quoi faire avec son bébé. Celle qui ne pleure pas à 3h du mat en scrollant les forums pour savoir si c’est normal d’avoir envie de fuir.
La société adore parler de maternité comme si c’était un automatisme biologique. En réalité, ce que vivent les jeunes mamans est souvent une crise existentielle. Mais comme c’est censé être « le plus beau moment de ta vie », tu culpabilises à mort si tu ne le vis pas comme tel. Résultat ? Tu te tais. Et tu t’isoles. Encore plus si tu vis un baby blues, une dépression post-partum ou une psychose puerpérale.
Et la patrescence alors ? ça existe aussi ?
On parle de matrescence, mais la patrescence ? Silence radio. Pourtant, l’arrivée d’un bébé, ça te retourne aussi. Tu crois que tu vas juste « soutenir », faire les couches et gérer deux-trois nuits pour laisser la maman se reposer. En vrai ? Tu prends une claque. Bonjour anxiété !
Personne ne te prépare à ce que ça fait de voir leur enfant sortir du ventre d’une femme qui vient d’accoucher (ou de vivre une césarienne), de devoir assurer dès le lendemain pendant qu’elle galère avec l’allaitement, son corps, ses larmes, sa tête en vrac. Elle fait peut-être une dépression postnatale, ou un simple maman blues, mais toi aussi t’as changé. Et non, ce n’est pas parce que t’es faible ou dépressif.
T’as juste pas dormi. T’es paumé. Et dans tout ce truc ultra maternel, t’as même plus le droit de dire que t’existes. T’es censé gérer les papiers, la bouffe, les visites, les pleurs du nourrisson, et parfois même, consoler une jeune accouchée qui se demande si elle est une bonne mère. Spoiler : elle l’est. Et toi, t’as le droit d’être perdu aussi.
La patrescence, c’est ce moment où les jeunes papas changent de peau sans qu’on leur file un mode d’emploi. Entre les injonctions à être un « pilier », les non-dits sur le postnatal, les questions incessantes dès le retour à la maison, et la charge mentale à deux, y’a de quoi vriller.
Alors non, t’es pas juste là « pour aider ». T’es en train de devenir père d’u nouveau-né. Et ça aussi, ça mérite du soin, du soutien, et qu’on arrête de faire comme si c’était secondaire.
Matrescence et charge mentale : combo explosif
Tu fais la liste dans ta tête pendant que tu allaites ? Tu penses à la PMI, au pédiatre, au linge, au vaccin, à la reprise du boulot pendant que tu essuies du lait sur ton T-shirt ? Bienvenue dans le grand marathon invisible des mères.
La matrescence c’est quoi ? C’est aussi prendre conscience de cette charge mentale monumentale, que tu portes souvent seule. Et cette charge pèse sur tout : ton énergie, ton sommeil, ton moral, ton couple, ta santé mentale. Résultat : épuisement, stress chronique, et parfois… burnout parental.
Le corps, l’inévitable bouleversement physique
Pendant la matrescence, le corps devient un enjeu central. Il est à la fois objet d’amour, de fatigue, de douleur, de fierté, de honte parfois. Il est scruté, comparé, jugé. Y compris par toi-même. Or, c’est souvent dans le corps que s’inscrit la mémoire émotionnelle du bouleversement vécu. Ignorer ça, c’est ignorer la moitié de ce que tu vis.
Ton utérus a bossé dur. Tes seins sont sous pression. Ton périnée ne sait plus comment se tenir. Et pendant que tout ton corps se reconstruit, tu dois en plus le montrer, le maquiller, le remercier, le tonifier ? Pardon, mais non. Encore une charge que les femmes doivent gérer en plus du reste.
Le couple et la matrescence : attention, terrain glissant
Devenir parents, c’est pas juste avoir un bébé. C’est redéfinir ton couple. Et spoiler : c’est souvent un tsunami relationnel. Libido à plat, communication qui part en vrille, charge mentale qui explose côté maternité… La matrescence, ça peut révéler des déséquilibres profonds.
Certaines femmes se sentent abandonnées. D’autres deviennent agressives. Beaucoup se sentent incomprises. C’est aussi la période où l’on parle enfin de charge mentale, de répartition des rôles, de fatigue émotionnelle. Bref, c’est pas le moment de faire l’autruche.
Pourquoi un accompagnement est indispensable
C’est là que le bât blesse : le suivi médical de la jeune maman est incomplet. Il checke ton col, ton utérus, ton périnée. Pas ta charge mentale, ni tes émotions, encore moins ta culpabilité. Tu restes seule avec ta peur d’être une mauvaise mère les premiers mois. Si certains⸱es pros savent comment t’accompagner dans ce tourbillon émotionnel, d’autres peuvent être eux-mêmes complètement largués. N’hésite pas à changer si tu ne te sens pas soutenue.
Un accompagnement digne de ce nom, c’est celui qui prend en compte ta tête, ton corps, ton vécu, ton contexte. Qui ne t’infantilise pas, te donne des outils mais aussi t’offre une vraie écoute.
Ici, on ne te dit pas « ça va passer ». On te donne des clés concrètes. Motherhood, c’est un programme grossesse et post-partum pensé pour t’aider à naviguer dans la matrescence sans te noyer. Chaque mois, tu reçois chez toi une box avec des outils concrets (livrets, soins, objets utiles) + un accès à des contenus exclusifs en ligne, sans chichi, sans jugement, 100 % réalistes.
Et on n’oublie pas le coparent : parce qu’on devient parents à deux. Et que le soutien ne devrait jamais reposer sur une seule paire d’épaules.
En résumé : la matrescence, c’est pas juste un mot savant. C’est un vrai bouleversement. C’est ton cerveau qui reboote, avec ton corps qui évolue mais surtout ton cœur qui vacille. En bref le début de ta vie de mère avec votre bébé, c’est toute ton identité qui se transforme.
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tu auras tout ce qu’il faut pour naviguer ta grossesse sans stress ni conseils bidons.
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Le blog Bonjour Ocytocine, c’est une mine d’infos et de conseils pour t’accompagner dans l’aventure de la maternité. Mais on pose ça là tout de suite : ça ne remplace pas l’avis d’un pro de la santé. Alors si un doute te trotte en tête, ou si ton bébé te semble patraque, ne joue pas aux devinettes, consulte sans attendre. En effet, ton généraliste, ton pédiatre ou un spécialiste sont justement là pour ça. Si c’est toi qui ne te sens pas au top, même réflexe : prends rendez-vous avec ton obstétricien ou ta sage-femme ! Et si jamais ton médecin est injoignable et que ça devient trop stressant ? Direction les urgences, sans hésiter. Quand il s’agit de la santé, mieux vaut un « fausse alerte » qu’un « j’aurais dû y aller plus tôt ».
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tu auras tout ce qu’il faut pour naviguer ta grossesse sans stress ni conseils bidons.
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