Post-Partum : Le guide non-censuré de la vie Après-Bébé

Post-Partum : Le guide non-censuré de la vie Après-Bébé

post partum pleurs bébé

Aujourd’hui, on va parler d’un sujet aussi incontournable que redoutable : le post-partum.

Cette étape intense, qui dure entre 9 mois et 3 ans (oui, tu as bien lu), et à laquelle personne ne te prépare vraiment — ni pendant la grossesse, ni juste après l’accouchement. Et pourtant, c’est le vrai début du marathon. Le postnatal, c’est le terrain vague entre la salle d’accouchement et le moment où tu commences (peut-être) à respirer à nouveau.

Nous, on préfère être honnêtes : c’est loin d’être à la portée de tous⸱tes. Surtout quand tu viens de devenir jeune maman, que ton corps saigne, que tu te demandes ce qui t’arrive, et que tu te retrouves à googler « comment endormir bébé en moins de 2 minutes » à 3h du mat.

Tout commence souvent à l’arrivée d’un bébé : moment magique en théorie, mais aussi point de bascule total dans ta vie. Et dès le retour à la maison, ça s’enchaîne. Les nuits hachées. Les doutes. Les injonctions. Le poids de la fameuse éducation positive (traduction : ne jamais partir en vrille, même quand tu n’as pas dormi depuis 5 jours).

Alors pourquoi les difficultés du post-partum sont-elles si taboues ? Pourquoi on les planque sous le tapis alors qu’elles nous explosent toutes⸱tous à la figure ? Peut-être parce que ça fait tache dans le storytelling de la maternité rose pastel. Et pourtant, c’est la réalité brute — et on ferait mieux d’en parler.

Le post-partum est volontairement invisibilisé

Dans notre société, c’est le nouveau-né qui compte avant tout. Le reste ? On s’en tape. Le post-partum, lui, est relégué aux suites de couches (qui ne représentent que 5% du phénomène), sous silence ou en bas de page d’un vieux livret de préparation à la naissance. Et comme toujours, dans ce système patriarcal bien huilé, la parentalité, tant qu’elle reste associée au corps maternel, est considérée comme une affaire privée de jeune accouchée. Donc : invisible.

Et si de plus en plus d’hommes s’investissent corps et âmes dans leur rôle de père (comprenez faire 50/50), rien ne change pour autant. Rarissimes sont les pères ou jeunes papas qui s’investissent à fond, accompagnent une jeune maman qui vient d’accoucher, participent activement à l’allaitement, gèrent les couches entre les tétées ou les rdv avec la sage-femme. On continue à ignorer les baby-blues, la dépression post partum, la cicatrisation d’un césarienne ou au contraire la douleur du périnée et la rééducation périnéale, les saignements abondants, le placenta mal expulsé, les effets des hormones ou le retour de couches.

Et dès la sortie de la maternité suivant l’accouchement, le message reste le même et il est clair : si t’as eu une césarienne, tu pleures pas et tu récupères vite. Si t’as accouché par voie basse, t’as intérêt à reprendre la sexualité rapidement. Si t’allaite pas, tu culpabilises. Et si tu te plains, c’est que t’es une mauvaise mère. Voilà comment on traite les nouvelles mamans : avec des injonctions, mais zéro vrai soutien social.

Que ce soit pendant la grossesse ou lors des rendez-vous post-naissance, les consultations et conseils des professionnels⸱les de santé ne sont tournés que sur le bien-être de l’enfant et sa prise de poids. Le sommeil, les doutes et les angoisses des parents, next ! Au mieux, en les raccompagnant à la sortie du cabinet, ils ont le droit à « et vous ça va ? » qui revêt plus de la formule de politesse que d’un réel intérêt pour leur réponse (qu’on connaît déjà : non c’est la merde).

Les jeunes parents n’ont qu’à suivre le rythme de leur enfant, c’est quand-même eux qui l’ont voulu. Ah et on vous voit venir ! Si vous pensiez pouvoir compter sur la solidarité des potes qui viennent d’y passer avant vous, surprise, la pression sociale est passée par-là : les jeunes parents doivent se montrer forts, compétents et même comblés. Ils préfèrent donc taire la réalité et au final, on vous le donne en mille : vous serez seuls.

 

Comment survivre sans ruiner sa santé mentale ?

Entre les couches à changer, les pleurs du bébé et les montagnes de tâches ménagères qui s’accumulent, on se demande parfois quand on a signé pour ça. Au départ, on voulait juste un adorable petit bébé et on se retrouve soudain coincé⸱e dans le même pyjama depuis plus d’une semaine à s’extasier devant une enième rediffusion de Friends qui nous rappelle ô combien la vie par le passé avait du goût.

Les nouvelles mères prennent cher : Entre les lochies, les contractions utérines, les insomnies, les douleurs périnéales, la lactation, les nuits hachées et les rendez-vous avec le gynécologue ou la sage-femme libérale… Et tu t’étonnes encore de pas être hyper fraîche ? 

On a souvent tendance à sous-estimer l’impact du post-partum, pensant naïvement que tout ira bien une fois que bébé sera là.

Mais spoiler alert : ça ne se passe jamais comme ça. Cette période peut être rude, voire dévastatrice pour le couple si on ne s’est pas préparé (1 couple sur 2 pense à se séparer à la naissance de leur premier enfant selon une étude Ifop menée en 2022). Mais rassurez-vous, vous n’êtes pas seuls⸱es dans cette galère. Voici quelques conseils pour le traverser en douceur et vivre positivement cette période inédite :

1. s’informer pour mieux encaisser

Renseignez-vous sur le post-partum, ses symptômes et ses défis potentiels. Connaître les signes d’une dépression postnatale, comprendre les enjeux prénatals et postnataux, se préparer aux montagnes russes hormonales… c’est essentiel. Plus vous en saurez sur ce à quoi vous pouvez vous attendre, mieux vous serez préparé⸱e à y faire face.

Entre les couches, les pleurs, le maman blues, les interrogations sur la contraception, les disputes de couple, l’absence de relais et la charge mentale XXL, tu peux vite plonger. Et si t’as des antécédents dépressifs, ou que t’as mal vécu sa grossesse, le terrain est encore plus glissant.

Le programme Mamabirth te file tout ça (et bien plus) sur un plateau. Des dossiers clairs, des soins pour le corps maternel, des outils pour la relation mère-enfant, et surtout : une vraie vision de la réalité. Pas de paillettes, pas de filtres. Il offre aussi à la future maman des produits incontournables pour l’aider récupérer et un vrai kit de démarrage pour votre nouvelle vie avec bébé ! Bref, un programme complet et une box 100% utile dès le jour de la naissance de votre bébé.

 

2. Préparer votre environnement

Aménagez votre maison et vos chambres pour qu’elles soient confortables et pratiques pour accueillir votre nouveau-né. Prévoyez des espaces pour changer les couches, allaiter ou donner le biberon, et stockez des fournitures essentielles comme des couches, des lingettes et des vêtements de bébé à disposition. Ne dérogez jamais à cette règle : praticité avant esthétique !

 

3. Apprenez les bases pour ne pas flipper le jour-j !

Quoi de plus agréable que de sentir confiants et sereins pour accueillir son enfant ? 

Savoir calmer un bébé en pleine crise de coliques, laver un cordon, faire un rot, nourrir, porter, consoler… C’est pas inné. Chez les mères comme chez les pères. Et personne ne t’en voudra de vouloir apprendre. Même les sages-femmes le disent : les parents qui anticipent le vivent mieux.

Pour ça, apprenez les positions qui apaisent bébé (coliques), à faire le change et l’habillage de bébé, l’aider à faire son rot, l’hygiène du nouveau-né (bain, soin du cordon, lavage du nez,…), nourrir, bercer, porter … il y en tant de choses à savoir !

 

4. Tourner ! se Reposer ! Dormir !

Faites des roulements. Dormez à tour de rôle. C’est comme ça que tu passes du mode zombie au mode « on s’en sort pas trop mal ».

Entre les tétées ou nierons nocturnes et les couches à changer, il est facile de s’oublier complètement. Mais rappelez-vous que vous ne pourrez prendre soin de bébé que si vous prenez d’abord soin de vous. Accordez-vous des moments de détente, faites-vous plaisir avec un bon bain chaud ou une séance de méditation, et n’hésitez pas à demander de l’aide si vous en avez besoin pour éviter de partir en baby-clash.

 

5. ne pas garder tout en soi, communiquez

Le post-partum peut être extrêmement difficile à traverser au retour à la maison. On ne vous le dira jamais assez alors on vous le répète ici : ne gardez pas vos sentiments pour vous, parlez-en à votre partenaire, à vos amis⸱es ou à un⸱e professionnel⸱le de santé si nécessaire.

Il n’y a aucune honte à se sentir dépassés⸱es par la situation, et parler de vos émotions peut vous aider à les surmonter.

 

Des millions de parents avant vous ont traversé cette période avec plus ou moins de succès, et vous allez y arriver. La clé pour réussir c’est de s’y préparer avant que bébé arrive ! Besoin d’une aide concrète pour vous accompagner pas à pas, maitriser tout ce qu’il est indispensable et éviter les erreurs que font 95% des parents, on a conçu le kit ultime de survie !

 

 

En vrai : tu veux survivre ou t’épuiser ?

T’as le droit d’être fatiguée. T’as le droit d’en avoir marre. Tu peux soit le subir, soit t’y préparer.  Tu veux vraiment survivre aux premières semaines de ta nouvelle vie ?  T’as besoin de concret. D’outils. D’un plan. Pas de conseils vagues ou de clichés à base de « tu verras, l’instinct viendra ». Parce que, non, il ne vient pas toujours. Et les grossesses, les accouchements, les parcours sont tous différents. Chaque naissance d’un bébé est un tsunami.

On a conçu le kit ultime de survie pour ça : Le programme Mamabirth. Pour que tu saches quoi faire, comment, quand et avec quoi. Pour que tu sois outillé⸱e. Et surtout : pour que tu sois pas seul⸱e dans cette jungle du post-partum. Simple, accessible, sans prise de tête.

Le post-partum, ce n’est pas qu’un vague retour à la maison. C’est une phase maternelle, utérine, hormonale, psychologique et sociale qui mérite plus qu’un check-up de 6 semaines et trois serviettes hygiéniques géantes.

T’as pas besoin de jugements. T’as besoin de respect, d’outils, de vérité, et d’un peu de tendresse dans ce monde de brutes.

Et ça, c’est exactement ce qu’on fait chez Bonjour Ocytocine.

 

🔗 À lire aussi :

Les phobies d’impulsion : quand ton cerveau part en vrille 😳

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Et si ce que je ressens, c’était une dépression post-partum ?

Baby-blues : ça peut arriver à tout le monde ? Témoignage

Burnout parental = couple au bout du rouleau 😫

 

post partum pleurs bébé

Aujourd’hui, on va parler d’un sujet aussi incontournable que redoutable : le post-partum.

Cette étape intense, qui dure entre 9 mois et 3 ans (oui, tu as bien lu), et à laquelle personne ne te prépare vraiment — ni pendant la grossesse, ni juste après l’accouchement. Et pourtant, c’est le vrai début du marathon. Le postnatal, c’est le terrain vague entre la salle d’accouchement et le moment où tu commences (peut-être) à respirer à nouveau.

Nous, on préfère être honnêtes : c’est loin d’être à la portée de tous⸱tes. Surtout quand tu viens de devenir jeune maman, que ton corps saigne, que tu te demandes ce qui t’arrive, et que tu te retrouves à googler « comment endormir bébé en moins de 2 minutes » à 3h du mat.

Tout commence souvent à l’arrivée d’un bébé : moment magique en théorie, mais aussi point de bascule total dans ta vie. Et dès le retour à la maison, ça s’enchaîne. Les nuits hachées. Les doutes. Les injonctions. Le poids de la fameuse éducation positive (traduction : ne jamais partir en vrille, même quand tu n’as pas dormi depuis 5 jours).

Alors pourquoi les difficultés du post-partum sont-elles si taboues ? Pourquoi on les planque sous le tapis alors qu’elles nous explosent toutes⸱tous à la figure ? Peut-être parce que ça fait tache dans le storytelling de la maternité rose pastel. Et pourtant, c’est la réalité brute — et on ferait mieux d’en parler.

Le post-partum est volontairement invisibilisé

Dans notre société, c’est le nouveau-né qui compte avant tout. Le reste ? On s’en tape. Le post-partum, lui, est relégué aux suites de couches (qui ne représentent que 5% du phénomène), sous silence ou en bas de page d’un vieux livret de préparation à la naissance. Et comme toujours, dans ce système patriarcal bien huilé, la parentalité, tant qu’elle reste associée au corps maternel, est considérée comme une affaire privée de jeune accouchée. Donc : invisible.

Et si de plus en plus d’hommes s’investissent corps et âmes dans leur rôle de père (comprenez faire 50/50), rien ne change pour autant. Rarissimes sont les pères ou jeunes papas qui s’investissent à fond, accompagnent une jeune maman qui vient d’accoucher, participent activement à l’allaitement, gèrent les couches entre les tétées ou les rdv avec la sage-femme. On continue à ignorer les baby-blues, la dépression post partum, la cicatrisation d’un césarienne ou au contraire la douleur du périnée et la rééducation périnéale, les saignements abondants, le placenta mal expulsé, les effets des hormones ou le retour de couches.

Et dès la sortie de la maternité suivant l’accouchement, le message reste le même et il est clair : si t’as eu une césarienne, tu pleures pas et tu récupères vite. Si t’as accouché par voie basse, t’as intérêt à reprendre la sexualité rapidement. Si t’allaite pas, tu culpabilises. Et si tu te plains, c’est que t’es une mauvaise mère. Voilà comment on traite les nouvelles mamans : avec des injonctions, mais zéro vrai soutien social.

Que ce soit pendant la grossesse ou lors des rendez-vous post-naissance, les consultations et conseils des professionnels⸱les de santé ne sont tournés que sur le bien-être de l’enfant et sa prise de poids. Le sommeil, les doutes et les angoisses des parents, next ! Au mieux, en les raccompagnant à la sortie du cabinet, ils ont le droit à « et vous ça va ? » qui revêt plus de la formule de politesse que d’un réel intérêt pour leur réponse (qu’on connaît déjà : non c’est la merde).

Les jeunes parents n’ont qu’à suivre le rythme de leur enfant, c’est quand-même eux qui l’ont voulu. Ah et on vous voit venir ! Si vous pensiez pouvoir compter sur la solidarité des potes qui viennent d’y passer avant vous, surprise, la pression sociale est passée par-là : les jeunes parents doivent se montrer forts, compétents et même comblés. Ils préfèrent donc taire la réalité et au final, on vous le donne en mille : vous serez seuls.

 

Comment survivre sans ruiner sa santé mentale ?

Entre les couches à changer, les pleurs du bébé et les montagnes de tâches ménagères qui s’accumulent, on se demande parfois quand on a signé pour ça. Au départ, on voulait juste un adorable petit bébé et on se retrouve soudain coincé⸱e dans le même pyjama depuis plus d’une semaine à s’extasier devant une enième rediffusion de Friends qui nous rappelle ô combien la vie par le passé avait du goût.

Les nouvelles mères prennent cher : Entre les lochies, les contractions utérines, les insomnies, les douleurs périnéales, la lactation, les nuits hachées et les rendez-vous avec le gynécologue ou la sage-femme libérale… Et tu t’étonnes encore de pas être hyper fraîche ? 

On a souvent tendance à sous-estimer l’impact du post-partum, pensant naïvement que tout ira bien une fois que bébé sera là.

Mais spoiler alert : ça ne se passe jamais comme ça. Cette période peut être rude, voire dévastatrice pour le couple si on ne s’est pas préparé (1 couple sur 2 pense à se séparer à la naissance de leur premier enfant selon une étude Ifop menée en 2022). Mais rassurez-vous, vous n’êtes pas seuls⸱es dans cette galère. Voici quelques conseils pour le traverser en douceur et vivre positivement cette période inédite :

1. s’informer pour mieux encaisser

Renseignez-vous sur le post-partum, ses symptômes et ses défis potentiels. Connaître les signes d’une dépression postnatale, comprendre les enjeux prénatals et postnataux, se préparer aux montagnes russes hormonales… c’est essentiel. Plus vous en saurez sur ce à quoi vous pouvez vous attendre, mieux vous serez préparé⸱e à y faire face.

Entre les couches, les pleurs, le maman blues, les interrogations sur la contraception, les disputes de couple, l’absence de relais et la charge mentale XXL, tu peux vite plonger. Et si t’as des antécédents dépressifs, ou que t’as mal vécu sa grossesse, le terrain est encore plus glissant.

Le programme Mamabirth te file tout ça (et bien plus) sur un plateau. Des dossiers clairs, des soins pour le corps maternel, des outils pour la relation mère-enfant, et surtout : une vraie vision de la réalité. Pas de paillettes, pas de filtres. Il offre aussi à la future maman des produits incontournables pour l’aider récupérer et un vrai kit de démarrage pour votre nouvelle vie avec bébé ! Bref, un programme complet et une box 100% utile dès le jour de la naissance de votre bébé.

 

2. Préparer votre environnement

Aménagez votre maison et vos chambres pour qu’elles soient confortables et pratiques pour accueillir votre nouveau-né. Prévoyez des espaces pour changer les couches, allaiter ou donner le biberon, et stockez des fournitures essentielles comme des couches, des lingettes et des vêtements de bébé à disposition. Ne dérogez jamais à cette règle : praticité avant esthétique !

 

3. Apprenez les bases pour ne pas flipper le jour-j !

Quoi de plus agréable que de sentir confiants et sereins pour accueillir son enfant ? 

Savoir calmer un bébé en pleine crise de coliques, laver un cordon, faire un rot, nourrir, porter, consoler… C’est pas inné. Chez les mères comme chez les pères. Et personne ne t’en voudra de vouloir apprendre. Même les sages-femmes le disent : les parents qui anticipent le vivent mieux.

Pour ça, apprenez les positions qui apaisent bébé (coliques), à faire le change et l’habillage de bébé, l’aider à faire son rot, l’hygiène du nouveau-né (bain, soin du cordon, lavage du nez,…), nourrir, bercer, porter … il y en tant de choses à savoir !

 

4. Tourner ! se Reposer ! Dormir !

Faites des roulements. Dormez à tour de rôle. C’est comme ça que tu passes du mode zombie au mode « on s’en sort pas trop mal ».

Entre les tétées ou nierons nocturnes et les couches à changer, il est facile de s’oublier complètement. Mais rappelez-vous que vous ne pourrez prendre soin de bébé que si vous prenez d’abord soin de vous. Accordez-vous des moments de détente, faites-vous plaisir avec un bon bain chaud ou une séance de méditation, et n’hésitez pas à demander de l’aide si vous en avez besoin pour éviter de partir en baby-clash.

 

5. ne pas garder tout en soi, communiquez

Le post-partum peut être extrêmement difficile à traverser au retour à la maison. On ne vous le dira jamais assez alors on vous le répète ici : ne gardez pas vos sentiments pour vous, parlez-en à votre partenaire, à vos amis⸱es ou à un⸱e professionnel⸱le de santé si nécessaire.

Il n’y a aucune honte à se sentir dépassés⸱es par la situation, et parler de vos émotions peut vous aider à les surmonter.

 

Des millions de parents avant vous ont traversé cette période avec plus ou moins de succès, et vous allez y arriver. La clé pour réussir c’est de s’y préparer avant que bébé arrive ! Besoin d’une aide concrète pour vous accompagner pas à pas, maitriser tout ce qu’il est indispensable et éviter les erreurs que font 95% des parents, on a conçu le kit ultime de survie !

 

 

En vrai : tu veux survivre ou t’épuiser ?

T’as le droit d’être fatiguée. T’as le droit d’en avoir marre. Tu peux soit le subir, soit t’y préparer.  Tu veux vraiment survivre aux premières semaines de ta nouvelle vie ?  T’as besoin de concret. D’outils. D’un plan. Pas de conseils vagues ou de clichés à base de « tu verras, l’instinct viendra ». Parce que, non, il ne vient pas toujours. Et les grossesses, les accouchements, les parcours sont tous différents. Chaque naissance d’un bébé est un tsunami.

On a conçu le kit ultime de survie pour ça : Le programme Mamabirth. Pour que tu saches quoi faire, comment, quand et avec quoi. Pour que tu sois outillé⸱e. Et surtout : pour que tu sois pas seul⸱e dans cette jungle du post-partum. Simple, accessible, sans prise de tête.

Le post-partum, ce n’est pas qu’un vague retour à la maison. C’est une phase maternelle, utérine, hormonale, psychologique et sociale qui mérite plus qu’un check-up de 6 semaines et trois serviettes hygiéniques géantes.

T’as pas besoin de jugements. T’as besoin de respect, d’outils, de vérité, et d’un peu de tendresse dans ce monde de brutes.

Et ça, c’est exactement ce qu’on fait chez Bonjour Ocytocine.

 

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Postpartum c’est quoi ? spoiler : pas juste un baby blues !

Et si ce que je ressens, c’était une dépression post-partum ?

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Rejoins le programme Motherhood 🔥

On ne va pas te promettre un parcours sans embûches, mais avec Motherhood,
tu auras tout ce qu’il faut pour naviguer ta grossesse sans stress ni conseils bidons.

Prête à vivre cette aventure autrement ? Découvre Motherhood 💝

Le blog Bonjour Ocytocine, c’est une mine d’infos et de conseils pour t’accompagner dans l’aventure de la maternité. Mais on pose ça là tout de suite : ça ne remplace pas l’avis d’un pro de la santé. Alors si un doute te trotte en tête, ou si ton bébé te semble patraque, ne joue pas aux devinettes, consulte sans attendre. En effet, ton généraliste, ton pédiatre ou un spécialiste sont justement là pour ça. Si c’est toi qui ne te sens pas au top, même réflexe : prends rendez-vous avec ton obstétricien ou ta sage-femme ! Et si jamais ton médecin est injoignable et que ça devient trop stressant ? Direction les urgences, sans hésiter. Quand il s’agit de la santé, mieux vaut un « fausse alerte » qu’un « j’aurais dû y aller plus tôt ».

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tu auras tout ce qu’il faut pour naviguer ta grossesse sans stress ni conseils bidons.

Prête à vivre cette aventure autrement ? Découvre Motherhood 💝

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