Grossesse : J’ai peur que mon mec me trompe, que faire ?

Grossesse : J’ai peur que mon mec me trompe, que faire ?

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Mec me trompe : ou est-ce que je projette mes angoisses ?

Si aujourd’hui tu tapes « grossesse est-ce que mon mec me trompe » à 2h du matin enceinte jusqu’aux dents, sache un truc : t’es pas seule.

Tu veux la vérité brute ? Y’a pas UNE seule explication. Certains hommes flippent face à la grossesse. La transformation du corps maternel, la perspective de devenir père, la charge mentale à venir… Ils perdent pied (surtout lors d’une première grossesse), ils se replient, ils sortent plus, cherchent un shoot d’égo, une illusion de normalité. Ils fuient, au lieu de s’engager, parfois dès le début de grossesse. Mais ça ne veut pas dire qu’ils sont tous infidèles. Parfois, c’est juste un désalignement temporaire avant la naissance d’un bébé. Et parfois, les signaux sont réels. On t’aide à décrypter tout ça !

La grossesse agit comme un révélateur.

Ce que tu croyais solide se fissure. Et t’es là, à gérer un utérus contractile ET un mec qui te laisse gérer seule. Pardon, mais faut avoir les nerfs solides.

C’est pas juste une inquiétude passagère. Quand t’es enceinte et que tu sens ton mec s’éloigner, c’est toute ta sécurité affective qui se barre en vrille. La grossesse est censée renforcer la relation, souder le couple autour de la future parentalité.

Et ça fait mal. Parce qu’on te demande déjà d’être forte, stable, disponible, même quand tu vomis trois fois par jour. Parce qu’on te dit « tu devrais être heureuse », alors que t’es en train de douter de tout. Et là-dessus, bam : la possibilité d’une trahison. Que ce soit un flirt, un message douteux ou une vraie double vie, l’effet est le même. C’est un séisme intime. Un effondrement de confiance.

Et une question impossible : comment continuer à construire une famille, à préparer l’éducation de votre futur bébé, à affronter ensemble les responsabilités de la parentalité, quand le socle même de la relation s’effondre ? La grossesse, c’est censé être un temps d’union, un guide vers la naissance d’un enfant, pas une période où la procréation rime avec isolement.

Mais là, ton cerveau bug : il me dit qu’il m’aime, mais il ne me touche plus ? Il prépare l’arrivée de notre bébé, mais il ne me regarde plus comme avant ? Ce mélange de colère, de tristesse, de doutes, de jalousie et de peur crée une angoisse qui peut ruiner ta santé mentale. Et parfois, faire plonger ta grossesse dans le stress, les insomnies, la dépression, voire des contractions précoces. Un fléau pour les femmes enceintes.

soupçons d’Infidélité & grossesse : un tabou tenace qu’on ne veut plus taire

On va être clair·e·s : dès qu’on parle de maternité, l’infidélité pendant la grossesse reste un énorme tabou. Comme si ce sujet faisait tache sur l’image bien lissée de la future maman radieuse, souriante, comblée par l’arrivée d’un bébé. Mieux qu’un conjoint trompe sa conjointe pendant les neuf mois les plus intenses de sa grossesse était une légende urbaine. Spoiler : certaines femmes le vivent. Trop nombreuses.


Et toi, pendant ce temps-là ?

Tu portes votre bébé et, en parallèle, tu prépares déjà ton congé maternité. Tu comptes les mois de grossesse, puis tu imagines la vie avec votre nouveau-né. Ensuite, tu fais des choix sur la contraception, tout en anticipant, au cas où, une éventuelle césarienne. Enfin, tu penses déjà à la rééducation du périnée, parce que oui, même ça, c’est à toi d’y penser.

Être enceinte, ça bouleverse tout : la sexualité, le couple, la place du père, l’équilibre dans le foyer. Pendant que toi, tu gères tes nausées, ton périnée en alerte, tes rendez-vous prénatals avec ta sage-femme ou ton gynécologue, lui, parfois, décroche. Il n’a pas le corps qui change, ni la prise de poids, ni les doutes hormonaux. Il ne vit pas le post-partum en anticipation, ni la peur de l’après l’accouchement, ni l’angoisse de ne pas savoir allaiter ou s’occuper d’un nourrisson.


Et lui ?

Il sort. Il fuit. Parfois, il accouche d’une double vie. Souvent c’est brutal. Toujours c’est injuste. Et non, tu n’es pas une patiente fragile, tu es une jeune maman en puissance. Et tu as le droit de poser des limites. Parce que grossesse ne rime pas avec trahison, et que la loyauté ne devrait jamais être optionnelle — surtout quand on devient futurs parents.

Certains compagnons se sentent mis sur la touche (spoiler : c’est pas une excuse), d’autres fuient leur propre peur de devenir parent, ou vont chercher ailleurs un shoot d’ego au moment où leur conjointe traverse la plus grande transformation de sa vie. Donc, l’infidélité grossesse est souvent le révélateur d’un déséquilibre déjà là… ou d’un mari pas prêt à assumer son rôle de père.

Et ça peut même arriver en fin de grossesse ou après l’accouchement. Une fois le retour de la maternité passé, certain·es partenaires peinent à trouver leur place, que ce soit face à l’allaitement ou dans la nouvelle organisation familiale au sens large.

 

Pourquoi l’infidélité s’invite pendant la grossesse ?

Des chiffres qui parlent : l’infidélité pendant la grossesse, un tabou loin d’être rare

En 2022, près d’un homme sur deux en France avouait avoir déjà trompé sa/son partenaire (Statista). Et non, les femmes ne sont pas en reste : elles sont 38 % à avoir franchi la ligne. Bien que cette statistique ne soit pas spécifique à la période de la grossesse, elle souligne la prévalence de l’infidélité dans les relations.

D’après les chiffres de l’IFOP, près d’un couple sur deux traverse une crise majeure dans l’année qui suit une naissance. Des statistiques qui rappellent à quel point cette période, censée être fusionnelle, peut aussi être déstabilisante. L’infidélité reste tout de même rare au sein d’un couple qui vit une grossesse. Difficile à quantifier en réalité.

La grossesse, c’est un séisme. Pour toi, bien sûr. Mais aussi – même si c’est moins visible – pour ton mec. Le futur papa se retrouve face à une nouvelle réalité : il va devenir père. Et parfois, ce bouleversement le dépasse. Certaines émotions enfouies remontent : la peur de ne pas être à la hauteur, la nostalgie de la liberté d’avant, la sensation d’être mis de côté face à cette fusion mère-enfant qui se dessine. Il voit ton corps changer, ton attention se porter ailleurs (souvent sur votre bébé, et c’est normal), et au lieu de se rapprocher, il fuit. Alors la tentation devient alors un échappatoire. Comme un moyen de retrouver un sentiment de légèreté, de désir, de contrôle. Bref, un shoot d’ego à un moment où il se sent paumé. Mais ce n’est pas une excuse.


L’infidélité grossesse n’est jamais justifiable.

Elle est le symptôme d’un malaise qu’il aurait dû affronter en face, pas dans le lit de quelqu’un d’autre. Pourtant, elle révèle aussi combien notre société prépare mal les hommes à devenir pères. On leur parle rarement de l’impact émotionnel de cette transition, de la nécessité de s’impliquer dans le suivi de grossesse, de la place à prendre (et pas voler) auprès de leur future maman. Résultat ? Certains déraillent. D’autres disparaissent. Et toi, t’es là, à te demander si c’est ton corps, tes hormones ou ton instinct qui crie à la trahison.

Alors non, tu ne l’as pas « poussé » à fauter. Non, ce n’est pas parce que tu n’es « plus la même ». Tu es en train de créer la vie. Lui, il doit grandir aussi. Et l’infidélité n’est clairement pas le bon chemin pour y arriver.

Mon mec me trompe ou s’éloigne ? À quel moment s’inquiéter vraiment ?

Spoiler : tu n’as pas besoin de preuves pour te sentir mal. Ce que tu ressens compte. Mais il y a quand même quelques signes qui doivent faire tilt : 

S’il passe ses soirées dehors,

qu’il évite les conversations profondes,

qu’il te reproche ta fatigue ou tes émotions,

qu’il ne pose aucune question sur le suivi de grossesse ou ne montre aucun intérêt pour l’arrivée de votre bébé, là oui, on peut sérieusement parler d’alerte rouge.

Être en couple, c’est aussi être présent·e dans les moments charnières. Et la grossesse en fait clairement partie. Il ne s’agit pas juste d’assister aux échographies. Aujourd’hui, c’est devenu la norme sociale, donc non, il ne mérite pas une médaille.

Tu es en droit d’exiger qu’il lève le pied sur les sorties solo si elles deviennent un moyen de fuir.

Tu peux demander de l’implication dans les rendez-vous médicaux, la préparation à l’accouchement, la projection sur ce que sera votre vie de parents. Non, ce n’est pas du contrôle. C’est du respect, du partenariat, de la responsabilité. Et s’il se braque ou t’accuse de trop en demander, c’est peut-être qu’il faut reposer les bases : on ne fait pas un bébé en pilotage automatique pendant que l’autre s’amuse comme un ado.

 

Comment s’assurer de la fidélité de son/sa partenaire ?

Tu veux être au clair sur la fidélité de ton/ta partenaire ? Ok, on pose les bases. D’abord, oublie les tutos douteux genre « 5 signes qu’il/elle te trompe » ou les stratégies parano en mode fouilles intempestives. La vraie fidélité, ça se construit, ça se cultive, et ça se ressent. Pas besoin de tracker planqué sous la voiture ou de fouiller les DM à 3h du mat’.

Ce qu’il faut, c’est d’abord observer : est-ce que la relation est nourrie au quotidien par de la communication honnête, du respect, de la présence réelle ? Ou est-ce que tu sens que tu marches sur des œufs dès que tu poses une question un peu trop directe ?

Et soyons clairs : la fidélité, c’est pas juste ne pas coucher ailleurs. C’est aussi être là émotionnellement, être cohérent entre ce qu’on dit et ce qu’on fait, ne pas jouer double-jeu dans l’ombre ou se barrer mentalement dès que ça devient sérieux. Alors si ton/ta partenaire fuit les discussions importantes, esquive les projets communs ou cultive le flou artistique sur ce qu’il/elle veut vraiment, c’est pas anodin. La confiance, ce n’est pas un acquis. C’est une co-construction constante, et chacun·e a sa part du taf à faire.

Bref, si tu dois te transformer en détective, c’est peut-être déjà qu’il y a un truc qui cloche. Et ton instinct mérite d’être écouté. Parce que dans une relation saine, t’as pas besoin de douter tous les quatre matins : tu sais.


Doutes, distance, silence : comment retisser le lien avant l’arrivée de bébé ?

Avant même d’accoucher, il est possible – et nécessaire – de tirer la sonnette d’alarme quand le lien de couple s’effiloche. Parce que si on attend que le bébé soit là pour régler ce qui coince, on risque fort d’empiler fatigue, rancune, solitude et baby clash. La grossesse est un moment précieux (et fragile) pour poser les bases d’une communication claire, sincère, sans faux-semblants. Si ton mec s’éloigne, ne banalise pas. Invite-le à parler. Mets des mots sur ce que tu ressens. Et demande-lui, franchement : « Est-ce que tu te projettes vraiment dans cette parentalité à deux ? »

Tu peux aussi proposer des rituels simples mais puissants : une séance de préparation à la naissance comme l’haptonomie / prépa à l’accouchement ensemble, une discussion hebdo sans distractions ou encore une visualisation commune de l’après-naissance. Créer du lien pendant le déroulement de la grossesse, ce n’est pas faire semblant d’aller bien. C’est oser la vulnérabilité. Et poser des actes concrets, même petits, qui montrent qu’on avance à deux. Parce que la grossesse peut vous rapprocher si vous vous autorisez à en faire un moment de vérité, pas une mise en pause du couple.

Mais c’est aussi là que tu peux poser tes nouvelles fondations. T’as le droit de dire stop. D’exiger une vraie remise en question. Ou de tourner la page. La rupture est parfois une renaissance. Et tu ne seras pas la première à choisir de vivre ta maternité sans un mec qui n’était pas à la hauteur. Parce que tu n’as pas besoin d’un partenaire parfait. Mais tu mérites un minimum de loyauté. Et surtout, de la présence.

Enceinte, je doute : est-ce que je dois rester ?

C’est LA question. Et spoiler : personne n’a la réponse à ta place. Parce qu’il n’existe pas un mode d’emploi unique à « que faire grossesse tromperie » ou « comment gérer la distance en couple enceinte ». Certaines choisissent de partir direct. D’autres restent, le temps d’accoucher. D’autres encore tentent la thérapie de couple ou le conseil conjugal, pour comprendre, reconstruire, avancer. L’essentiel, c’est de penser à TOI. À ta sécurité. À ta santé mentale. À ton bébé. Est-ce que tu peux cohabiter sans te détruire ? Est-ce que tu as besoin de distance ? Est-ce que tu veux du soutien de ta famille, de tes proches, de ton psy ?

Tu es une future maman. Pas une victime silencieuse. Tu peux poser tes conditions. Tu peux refuser qu’on te fasse porter la culpabilité. Tu as le droit de t’effondrer, de crier, de pleurer, de ne pas pardonner. Et tu as aussi le droit de choisir la paix. Même si ça veut dire faire un enfant seule. Parce qu’être seule et alignée, c’est toujours mieux qu’être deux dans le flou et la frustration.

 

Témoignages : elles l’ont vécu

« Dès le cinquième mois, j’ai senti qu’il s’éloignait. Moins de câlins, plus de sorties… Jusqu’à ce que je découvre des messages à 2 h du matin. Il m’a juré que c’était juste du flirt. Mais moi, j’étais enceinte. Et j’avais juste besoin qu’il soit là. » – Léa, 32 ans.

« Au début, je me suis dit que c’était les hormones. Que je devenais parano. Mais quand il a refusé de venir au troisième écho et qu’il a prétexté un afterwork, j’ai compris qu’il y avait un malaise. On a fini par faire une thérapie. Et j’ai mis mes limites. » – Sarah, 28 ans.

 

Peut-on vraiment pardonner une infidélité pendant la grossesse ?

Franchement, c’est la question à 1000 balles. Peut-on (ou doit-on) pardonner une infidélité grossesse ? Pas de réponse universelle ici. En effet, chaque situation est unique, chaque femme est différente, chaque histoire a ses zones d’ombre. Mais ce qu’on peut dire, c’est que pendant la grossesse, la trahison prend une dimension encore plus violente. Parce que tu es en pleine transformation, que tu n’as pas la possibilité de claquer la porte et partir dans un Airbnb avec vue et surtout que tu portes votre bébé.

Pardonner une infidélité pendant la grossesse, ce n’est pas faire comme si rien ne s’était passé. En effet, c’est décider de reconstruire. Et pour ça, il faut que l’autre se mette à nu.

Par exemple : qu’il assume. Qu’il demande pardon. Qu’il écoute, qu’il rassure, qu’il prouve par ses actes que la priorité, c’est désormais la stabilité, le respect, la réparation. Rien que ça.

Mais tu peux aussi choisir de ne pas pardonner. Parce que ce n’est pas à toi de colmater une brèche ouverte par l’autre. Parce que tu refuses de t’abîmer dans une relation toxique. Parce que tu veux offrir à ton enfant un cadre où l’on s’aime vraiment, pas où l’on se tolère à moitié. Et ce choix-là aussi est légitime.

Quoi qu’il arrive, ne laisse personne t’imposer un timing ou une posture. La gestion de l’infidélité grossesse, c’est avant tout une affaire de dignité personnelle. De sécurité mentale. Et de vision à long terme : est-ce que je peux encore croire en cette relation, avec lui, après ça ?

 

L’avis d’une experte : quand l’infidélité révèle un malaise plus profond

La thérapeute de couple Esther Perel, mondialement reconnue pour ses travaux sur le désir, l’engagement et la trahison, remet les pendules à l’heure dans sa conférence TED « Rethinking Infidelity ». Tout d’abord elle y explique que l’infidélité n’est pas toujours une histoire de sexe, mais souvent une fuite de soi-même. Elle affirme : « Quand nous cherchons le regard de quelqu’un d’autre, ce n’est pas forcément notre partenaire que nous fuyons, mais la personne que nous sommes devenus. »

Et dans le contexte d’une grossesse, ce constat résonne fort. Parce que la femme change, physiquement, psychologiquement, hormonale-ment. Le couple est secoué. Et parfois, l’un se replie ou dévie. Mais ce n’est pas une fatalité. Esther Perel rappelle aussi qu’« une infidélité peut détruire une relation… mais elle peut aussi la transformer ».

À voir ici 👉 Rethinking Infidelity | Esther Perel – TED Talk

 

Les racines profondes de l’infidélité : quand le malaise vient de loin

L’infidélité ne surgit jamais par hasard. En effet, derrière la trahison, il y a souvent des blessures plus anciennes ou des failles émotionnelles jamais explorées. Parmi les causes les plus fréquentes selon une étude Statista : l’insatisfaction affective, un manque de reconnaissance, ou la peur de l’engagement profond. Chez certains hommes, des troubles de l’attachement peuvent également provoquer une incapacité à créer une relation intime durable — ils fuient la proximité dès qu’elle devient trop réelle.

Alors la grossesse, en intensifiant la vulnérabilité de la partenaire et en exigeant une maturité émotionnelle accrue, agit comme un miroir. En effet, elle révèle ce que l’autre n’a jamais appris à affronter. Et parfois, l’infidélité devient un acte de sabotage inconscient, une manière (lâche, on est d’accord) de reprendre le contrôle face à un rôle — celui de père — qu’ils n’arrivent pas à incarner.

MAis alors, Quelles ressources concrètes pour s’en sortir ?

Si tu te retrouves dans ce genre de situation, sache que des solutions existent. Tu peux te tourner vers une thérapie individuelle (c’est bien) ou une thérapie de couple (c’est mieux), contacter des associations de soutien psychologique comme Maman Blues, ou consulter une sage-femme sensibilisée aux enjeux psychiques de la maternité. Des groupes de parole pour futures mamans ou futures mères solo peuvent aussi t’offrir un espace sécurisé pour déposer ta douleur et retrouver du soutien.

Et puis, il existe également des plateformes comme Bonjour Ocytocine qui proposent des contenus dédiés à la santé mentale maternelle, à la communication dans le couple et à la préparation émotionnelle à la parentalité dans son programme Motherhood. Il t’accompagne mois après mois sur tous les aspect de ta grossesse avec des outils, des infos vraies, et une box mensuelle pour te faire du bien.

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Si aujourd’hui tu tapes « grossesse est-ce que mon mec me trompe » à 2h du matin enceinte jusqu’aux dents, sache un truc : t’es pas seule.

Tu veux la vérité brute ? Y’a pas UNE seule explication. Certains hommes flippent face à la grossesse. La transformation du corps maternel, la perspective de devenir père, la charge mentale à venir… Ils perdent pied (surtout lors d’une première grossesse), ils se replient, ils sortent plus, cherchent un shoot d’égo, une illusion de normalité. Ils fuient, au lieu de s’engager, parfois dès le début de grossesse. Mais ça ne veut pas dire qu’ils sont tous infidèles. Parfois, c’est juste un désalignement temporaire avant la naissance d’un bébé. Et parfois, les signaux sont réels. On t’aide à décrypter tout ça !

La grossesse agit comme un révélateur.

Ce que tu croyais solide se fissure. Et t’es là, à gérer un utérus contractile ET un mec qui te laisse gérer seule. Pardon, mais faut avoir les nerfs solides.

C’est pas juste une inquiétude passagère. Quand t’es enceinte et que tu sens ton mec s’éloigner, c’est toute ta sécurité affective qui se barre en vrille. La grossesse est censée renforcer la relation, souder le couple autour de la future parentalité.

Et ça fait mal. Parce qu’on te demande déjà d’être forte, stable, disponible, même quand tu vomis trois fois par jour. Parce qu’on te dit « tu devrais être heureuse », alors que t’es en train de douter de tout. Et là-dessus, bam : la possibilité d’une trahison. Que ce soit un flirt, un message douteux ou une vraie double vie, l’effet est le même. C’est un séisme intime. Un effondrement de confiance.

Et une question impossible : comment continuer à construire une famille, à préparer l’éducation de votre futur bébé, à affronter ensemble les responsabilités de la parentalité, quand le socle même de la relation s’effondre ? La grossesse, c’est censé être un temps d’union, un guide vers la naissance d’un enfant, pas une période où la procréation rime avec isolement.

Mais là, ton cerveau bug : il me dit qu’il m’aime, mais il ne me touche plus ? Il prépare l’arrivée de notre bébé, mais il ne me regarde plus comme avant ? Ce mélange de colère, de tristesse, de doutes, de jalousie et de peur crée une angoisse qui peut ruiner ta santé mentale. Et parfois, faire plonger ta grossesse dans le stress, les insomnies, la dépression, voire des contractions précoces. Un fléau pour les femmes enceintes.

soupçons d’Infidélité & grossesse : un tabou tenace qu’on ne veut plus taire

On va être clair·e·s : dès qu’on parle de maternité, l’infidélité pendant la grossesse reste un énorme tabou. Comme si ce sujet faisait tache sur l’image bien lissée de la future maman radieuse, souriante, comblée par l’arrivée d’un bébé. Mieux qu’un conjoint trompe sa conjointe pendant les neuf mois les plus intenses de sa grossesse était une légende urbaine. Spoiler : certaines femmes le vivent. Trop nombreuses.


Et toi, pendant ce temps-là ?

Tu portes votre bébé et, en parallèle, tu prépares déjà ton congé maternité. Tu comptes les mois de grossesse, puis tu imagines la vie avec votre nouveau-né. Ensuite, tu fais des choix sur la contraception, tout en anticipant, au cas où, une éventuelle césarienne. Enfin, tu penses déjà à la rééducation du périnée, parce que oui, même ça, c’est à toi d’y penser.

Être enceinte, ça bouleverse tout : la sexualité, le couple, la place du père, l’équilibre dans le foyer. Pendant que toi, tu gères tes nausées, ton périnée en alerte, tes rendez-vous prénatals avec ta sage-femme ou ton gynécologue, lui, parfois, décroche. Il n’a pas le corps qui change, ni la prise de poids, ni les doutes hormonaux. Il ne vit pas le post-partum en anticipation, ni la peur de l’après l’accouchement, ni l’angoisse de ne pas savoir allaiter ou s’occuper d’un nourrisson.


Et lui ?

Il sort. Il fuit. Parfois, il accouche d’une double vie. Souvent c’est brutal. Toujours c’est injuste. Et non, tu n’es pas une patiente fragile, tu es une jeune maman en puissance. Et tu as le droit de poser des limites. Parce que grossesse ne rime pas avec trahison, et que la loyauté ne devrait jamais être optionnelle — surtout quand on devient futurs parents.

Certains compagnons se sentent mis sur la touche (spoiler : c’est pas une excuse), d’autres fuient leur propre peur de devenir parent, ou vont chercher ailleurs un shoot d’ego au moment où leur conjointe traverse la plus grande transformation de sa vie. Donc, l’infidélité grossesse est souvent le révélateur d’un déséquilibre déjà là… ou d’un mari pas prêt à assumer son rôle de père.

Et ça peut même arriver en fin de grossesse ou après l’accouchement. Une fois le retour de la maternité passé, certain·es partenaires peinent à trouver leur place, que ce soit face à l’allaitement ou dans la nouvelle organisation familiale au sens large.

 

Pourquoi l’infidélité s’invite pendant la grossesse ?

Des chiffres qui parlent : l’infidélité pendant la grossesse, un tabou loin d’être rare

En 2022, près d’un homme sur deux en France avouait avoir déjà trompé sa/son partenaire (Statista). Et non, les femmes ne sont pas en reste : elles sont 38 % à avoir franchi la ligne. Bien que cette statistique ne soit pas spécifique à la période de la grossesse, elle souligne la prévalence de l’infidélité dans les relations.

D’après les chiffres de l’IFOP, près d’un couple sur deux traverse une crise majeure dans l’année qui suit une naissance. Des statistiques qui rappellent à quel point cette période, censée être fusionnelle, peut aussi être déstabilisante. L’infidélité reste tout de même rare au sein d’un couple qui vit une grossesse. Difficile à quantifier en réalité.

La grossesse, c’est un séisme. Pour toi, bien sûr. Mais aussi – même si c’est moins visible – pour ton mec. Le futur papa se retrouve face à une nouvelle réalité : il va devenir père. Et parfois, ce bouleversement le dépasse. Certaines émotions enfouies remontent : la peur de ne pas être à la hauteur, la nostalgie de la liberté d’avant, la sensation d’être mis de côté face à cette fusion mère-enfant qui se dessine. Il voit ton corps changer, ton attention se porter ailleurs (souvent sur votre bébé, et c’est normal), et au lieu de se rapprocher, il fuit. Alors la tentation devient alors un échappatoire. Comme un moyen de retrouver un sentiment de légèreté, de désir, de contrôle. Bref, un shoot d’ego à un moment où il se sent paumé. Mais ce n’est pas une excuse.


L’infidélité grossesse n’est jamais justifiable.

Elle est le symptôme d’un malaise qu’il aurait dû affronter en face, pas dans le lit de quelqu’un d’autre. Pourtant, elle révèle aussi combien notre société prépare mal les hommes à devenir pères. On leur parle rarement de l’impact émotionnel de cette transition, de la nécessité de s’impliquer dans le suivi de grossesse, de la place à prendre (et pas voler) auprès de leur future maman. Résultat ? Certains déraillent. D’autres disparaissent. Et toi, t’es là, à te demander si c’est ton corps, tes hormones ou ton instinct qui crie à la trahison.

Alors non, tu ne l’as pas « poussé » à fauter. Non, ce n’est pas parce que tu n’es « plus la même ». Tu es en train de créer la vie. Lui, il doit grandir aussi. Et l’infidélité n’est clairement pas le bon chemin pour y arriver.

Mon mec me trompe ou s’éloigne ? À quel moment s’inquiéter vraiment ?

Spoiler : tu n’as pas besoin de preuves pour te sentir mal. Ce que tu ressens compte. Mais il y a quand même quelques signes qui doivent faire tilt : 

S’il passe ses soirées dehors,

qu’il évite les conversations profondes,

qu’il te reproche ta fatigue ou tes émotions,

qu’il ne pose aucune question sur le suivi de grossesse ou ne montre aucun intérêt pour l’arrivée de votre bébé, là oui, on peut sérieusement parler d’alerte rouge.

Être en couple, c’est aussi être présent·e dans les moments charnières. Et la grossesse en fait clairement partie. Il ne s’agit pas juste d’assister aux échographies. Aujourd’hui, c’est devenu la norme sociale, donc non, il ne mérite pas une médaille.

Tu es en droit d’exiger qu’il lève le pied sur les sorties solo si elles deviennent un moyen de fuir.

Tu peux demander de l’implication dans les rendez-vous médicaux, la préparation à l’accouchement, la projection sur ce que sera votre vie de parents. Non, ce n’est pas du contrôle. C’est du respect, du partenariat, de la responsabilité. Et s’il se braque ou t’accuse de trop en demander, c’est peut-être qu’il faut reposer les bases : on ne fait pas un bébé en pilotage automatique pendant que l’autre s’amuse comme un ado.

 

Comment s’assurer de la fidélité de son/sa partenaire ?

Tu veux être au clair sur la fidélité de ton/ta partenaire ? Ok, on pose les bases. D’abord, oublie les tutos douteux genre « 5 signes qu’il/elle te trompe » ou les stratégies parano en mode fouilles intempestives. La vraie fidélité, ça se construit, ça se cultive, et ça se ressent. Pas besoin de tracker planqué sous la voiture ou de fouiller les DM à 3h du mat’.

Ce qu’il faut, c’est d’abord observer : est-ce que la relation est nourrie au quotidien par de la communication honnête, du respect, de la présence réelle ? Ou est-ce que tu sens que tu marches sur des œufs dès que tu poses une question un peu trop directe ?

Et soyons clairs : la fidélité, c’est pas juste ne pas coucher ailleurs. D’abord, c’est aussi être là émotionnellement, être cohérent entre ce qu’on dit et ce qu’on fait, mais aussi ne pas jouer double-jeu dans l’ombre ou se barrer mentalement dès que ça devient sérieux. Alors si ton/ta partenaire fuit les discussions importantes, esquive les projets communs ou cultive le flou artistique sur ce qu’il/elle veut vraiment, c’est pas anodin. La confiance, ce n’est pas un acquis. En effet, c’est une co-construction constante, et chacun·e a sa part du taf à faire.

Bref, si tu dois te transformer en détective, c’est peut-être déjà qu’il y a un truc qui cloche. Et ton instinct mérite d’être écouté. Parce que dans une relation saine, t’as pas besoin de douter tous les quatre matins : tu sais.


Doutes, distance, silence : comment retisser le lien avant l’arrivée de bébé ?

Avant même d’accoucher, il est possible – et nécessaire – de tirer la sonnette d’alarme quand le lien de couple s’effiloche. Parce que si on attend que le bébé soit là pour régler ce qui coince, on risque fort d’empiler fatigue, rancune, solitude et baby clash. La grossesse est un moment précieux (et fragile) pour poser les bases d’une communication claire, sincère, sans faux-semblants. Si ton mec s’éloigne, ne banalise pas. Invite-le à parler. Mets des mots sur ce que tu ressens. Et demande-lui, franchement : « Est-ce que tu te projettes vraiment dans cette parentalité à deux ? »

Tu peux aussi proposer des rituels simples mais puissants : une séance de préparation à la naissance comme l’haptonomie / prépa à l’accouchement ensemble, une discussion hebdo sans distractions ou encore une visualisation commune de l’après-naissance. Créer du lien pendant le déroulement de la grossesse, ce n’est pas faire semblant d’aller bien. C’est oser la vulnérabilité. Et poser des actes concrets, même petits, qui montrent qu’on avance à deux. Parce que la grossesse peut vous rapprocher si vous vous autorisez à en faire un moment de vérité, pas une mise en pause du couple.

Mais c’est aussi là que tu peux poser tes nouvelles fondations. T’as le droit de dire stop. D’exiger une vraie remise en question. Ou de tourner la page. La rupture est parfois une renaissance. Et tu ne seras pas la première à choisir de vivre ta maternité sans un mec qui n’était pas à la hauteur. Parce que tu n’as pas besoin d’un partenaire parfait. Mais tu mérites un minimum de loyauté. Et surtout, de la présence.

Enceinte, je doute : est-ce que je dois rester ?

C’est LA question. Et spoiler : personne n’a la réponse à ta place. Parce qu’il n’existe pas un mode d’emploi unique à « que faire grossesse tromperie » ou « comment gérer la distance en couple enceinte ». Certaines choisissent de partir direct. D’autres restent, le temps d’accoucher. D’autres encore tentent la thérapie de couple ou le conseil conjugal, pour comprendre, reconstruire, avancer. L’essentiel, c’est de penser à TOI. À ta sécurité. À ta santé mentale. À ton bébé. Est-ce que tu peux cohabiter sans te détruire ? Est-ce que tu as besoin de distance ? Est-ce que tu veux du soutien de ta famille, de tes proches, de ton psy ?

Tu es une future maman. Pas une victime silencieuse. Tu peux poser tes conditions. Tu peux refuser qu’on te fasse porter la culpabilité. Tu as le droit de t’effondrer, de crier, de pleurer, de ne pas pardonner. Et tu as aussi le droit de choisir la paix. Même si ça veut dire faire un enfant seule. Parce qu’être seule et alignée, c’est toujours mieux qu’être deux dans le flou et la frustration.

 

Témoignages : elles l’ont vécu

« Dès le cinquième mois, j’ai senti qu’il s’éloignait. Moins de câlins, plus de sorties… Jusqu’à ce que je découvre des messages à 2 h du matin. Il m’a juré que c’était juste du flirt. Mais moi, j’étais enceinte. Et j’avais juste besoin qu’il soit là. » – Léa, 32 ans.

« Au début, je me suis dit que c’était les hormones. Que je devenais parano. Mais quand il a refusé de venir au troisième écho et qu’il a prétexté un afterwork, j’ai compris qu’il y avait un malaise. On a fini par faire une thérapie. Et j’ai mis mes limites. » – Sarah, 28 ans.

 

Peut-on vraiment pardonner une infidélité pendant la grossesse ?

Franchement, c’est la question à 1000 balles. Peut-on (ou doit-on) pardonner une infidélité grossesse ? Pas de réponse universelle ici. En effet, chaque situation est unique, chaque femme est différente, chaque histoire a ses zones d’ombre. Mais ce qu’on peut dire, c’est que pendant la grossesse, la trahison prend une dimension encore plus violente. Parce que tu es en pleine transformation, que tu n’as pas la possibilité de claquer la porte et partir dans un Airbnb avec vue et surtout que tu portes votre bébé.

Pardonner une infidélité pendant la grossesse, ce n’est pas faire comme si rien ne s’était passé. En effet, c’est décider de reconstruire. Et pour ça, il faut que l’autre se mette à nu.

Par exemple : qu’il assume. Qu’il demande pardon. Qu’il écoute, qu’il rassure, qu’il prouve par ses actes que la priorité, c’est désormais la stabilité, le respect, la réparation. Rien que ça.

Mais tu peux aussi choisir de ne pas pardonner. Parce que ce n’est pas à toi de colmater une brèche ouverte par l’autre. Parce que tu refuses de t’abîmer dans une relation toxique. Parce que tu veux offrir à ton enfant un cadre où l’on s’aime vraiment, pas où l’on se tolère à moitié. Et ce choix-là aussi est légitime.

Quoi qu’il arrive, ne laisse personne t’imposer un timing ou une posture. La gestion de l’infidélité grossesse, c’est avant tout une affaire de dignité personnelle. De sécurité mentale. Et de vision à long terme : est-ce que je peux encore croire en cette relation, avec lui, après ça ?

 

L’avis d’une experte : quand l’infidélité révèle un malaise plus profond

La thérapeute de couple Esther Perel, mondialement reconnue pour ses travaux sur le désir, l’engagement et la trahison, remet les pendules à l’heure dans sa conférence TED « Rethinking Infidelity ». Tout d’abord elle y explique que l’infidélité n’est pas toujours une histoire de sexe, mais souvent une fuite de soi-même. Elle affirme : « Quand nous cherchons le regard de quelqu’un d’autre, ce n’est pas forcément notre partenaire que nous fuyons, mais la personne que nous sommes devenus. »

Et dans le contexte d’une grossesse, ce constat résonne fort. Parce que la femme change, physiquement, psychologiquement, hormonale-ment. Le couple est secoué. Et parfois, l’un se replie ou dévie. Mais ce n’est pas une fatalité. Esther Perel rappelle aussi qu’« une infidélité peut détruire une relation… mais elle peut aussi la transformer ».

À voir ici 👉 Rethinking Infidelity | Esther Perel – TED Talk

 

Les racines profondes de l’infidélité : quand le malaise vient de loin

L’infidélité ne surgit jamais par hasard. En effet, derrière la trahison, il y a souvent des blessures plus anciennes ou des failles émotionnelles jamais explorées. Parmi les causes les plus fréquentes selon une étude Statista : l’insatisfaction affective, un manque de reconnaissance, ou la peur de l’engagement profond. Chez certains hommes, des troubles de l’attachement peuvent également provoquer une incapacité à créer une relation intime durable — ils fuient la proximité dès qu’elle devient trop réelle.

Alors la grossesse, en intensifiant la vulnérabilité de la partenaire et en exigeant une maturité émotionnelle accrue, agit comme un miroir. En effet, elle révèle ce que l’autre n’a jamais appris à affronter. Et parfois, l’infidélité devient un acte de sabotage inconscient, une manière (lâche, on est d’accord) de reprendre le contrôle face à un rôle — celui de père — qu’ils n’arrivent pas à incarner.

MAis alors, Quelles ressources concrètes pour s’en sortir ?

Si tu te retrouves dans ce genre de situation, sache que des solutions existent. Tu peux te tourner vers une thérapie individuelle (c’est bien) ou une thérapie de couple (c’est mieux), contacter des associations de soutien psychologique comme Maman Blues, ou consulter une sage-femme sensibilisée aux enjeux psychiques de la maternité. Des groupes de parole pour futures mamans ou futures mères solo peuvent aussi t’offrir un espace sécurisé pour déposer ta douleur et retrouver du soutien.

Et puis, il existe également des plateformes comme Bonjour Ocytocine qui proposent des contenus dédiés à la santé mentale maternelle, à la communication dans le couple et à la préparation émotionnelle à la parentalité dans son programme Motherhood. Il t’accompagne mois après mois sur tous les aspect de ta grossesse avec des outils, des infos vraies, et une box mensuelle pour te faire du bien.

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Le blog Bonjour Ocytocine, c’est une mine d’infos et de conseils pour t’accompagner dans l’aventure de la maternité. Mais on pose ça là tout de suite : ça ne remplace pas l’avis d’un pro de la santé. Alors si un doute te trotte en tête, ou si ton bébé te semble patraque, ne joue pas aux devinettes, consulte sans attendre. En effet, ton généraliste, ton pédiatre ou un spécialiste sont justement là pour ça. Si c’est toi qui ne te sens pas au top, même réflexe : prends rendez-vous avec ton obstétricien ou ta sage-femme ! Et si jamais ton médecin est injoignable et que ça devient trop stressant ? Direction les urgences, sans hésiter. Quand il s’agit de la santé, mieux vaut un « fausse alerte » qu’un « j’aurais dû y aller plus tôt ».

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